Hier soir à Toulouse comme partout en France, d’importantes manifestations non-mixtes étaient organisées dans le cadre de la lutte internationale des droits des femmes et des minorités de genre. Face à cette force dynamique, l’État a encore choisi la répression.

A Paris comme à Toulouse, l’Union syndicale Solidaires 31 condamne les violences policières, les coups de matraque, les charges, les gardes à vue.

A Toulouse, nous soutenons notre camarade féministe Lucie et nous exigeons sa libération immédiate.

A bas la répression des luttes !

Le 8 mars 2020,